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Lavrov : les Kurdes doivent rester une partie de l'Etat syrien

Réunis vendredi 26 août 2016 à Genève, les chefs des diplomaties russe et américaine, Sergueï Lavrov et John Kerry, se sont entretenus pendant 12 heures et sont parvenus à progresser vers le règlement de la crise en Syrie. Le problème kurde n'a pas été certes contourné.

A l'issue de longues négociations "fructueuses et constructives", le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a signalé à propos des Kurdes qu'ils ne devaient pas être utilisés pour le partage de la Syrie, à défaut de quoi une réaction en chaîne était inévitable dans la région. "Je suis convaincu que les Kurdes doivent rester une partie de l'Etat syrien, une composante de la solution au problème et non pas un facteur utilisé pour diviser la Syrie, car alors cela provoquera une réaction en chaîne dans l'ensemble de la région, ce qui n'est dans l'intérêt de personne", a dit M. Lavrov à l'issue des négociations avec le secrétaire d'Etat américain John Kerry. 

Violer la souveraineté syrienne, « une nouvelle discipline olympique? »

Le représentant syrien à l’Onu, qui a accusé plusieurs pays dont la France d'avoir perpétré une attaque chimique dans la région de Damas, a parlé de la violation de la souveraineté syrienne par les Etats-Unis. Interviewé par un journaliste russe de Sputnik, le délégué permanent syrien auprès de l'Onu Bachar al-Jaafari estime que les membres du Conseil de sécurité des Nations unies ont intérêt à ce que celui qui se tient derrière l'attaque chimique contre la Ghouta en 2013 reste inconnu, vu certaines circonstances politiques. Il est également d'avis que les services de renseignement français sont responsables de ce bombardement au gaz sarin.

M.Jaafari a en outre abordé le thème de l'opération militaire turque contre le groupe terroriste Daech dans la ville syrienne de Jarablos, frontalière de la Turquie. "La Turquie ne l'aurait pas envahi si la coalition internationale n'avait pas vu le jour. Cela fait déjà deux ans que la Turquie viole la souveraineté de la Syrie.

Aujourd'hui, ce sont notamment les Etats-Unis qui soutiennent la violation de la souveraineté syrienne car le gouvernement américain était le premier à violer notre souveraineté en termes militaires", a martelé le délégué permanent syrien auprès de l'Onu. Il a également pointé du doigt le fait que la partie syrienne n'avait demandé ni à la Turquie, ni à la coalition internationale de se mêler de ses affaires intérieures. "Vous voulez aider? Coordonnez vos actions avec l'armée syrienne! Echangez de l'information sur les terroristes! Créez une coalition internationale honnête!", s'est indigné Bachar al-Jaafari. ©

Bien que la Russie et l'Iran exercent une certaine pression politique sur la Turquie afin qu'elle change de cap dans la crise syrienne, cela n’a pas encore porté les fruits désirés.  "La Turquie joue un double jeu. Nous entendons tous les jours de beaux discours, il n'y a pas cependant d'actions concrètes", a-t-il déploré. Le diplomate syrien a également critiqué l'attitude des Etats-Unis qui "utilisent la Turquie, la branche armée du PKK, Daech, le Front al-Nosra et d'autres" à leurs fins que celles annoncées.

« Il est inacceptable que chaque personne qui ait envie de combattre le terrorisme envoie ses avions en Syrie et dise +je vais soutenir celui-ci et pas celui-là », d'autant plus sans le consentement du gouvernement syrien. Nous vivons au 21ème siècle et pas dans les forêts. Les gens ont oublié que le droit international existe", a conclu Bachar al-Jaafari.

La confiance Russie-USA se raffermit, le peuple syrien appréciera

Lors de ces négociations, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov et le secrétaire d'Etat américain John Kerry ont éclairci leurs démarches ultérieures en Syrie et ont convenu que la solution militaire au conflit syrien était impossible. "Nous nous sommes accordés sur les directions concrètes dans lesquelles on va travailler: la Russie avec le gouvernement syrien et les Etats-Unis avec l'opposition", a déclaré le chef de la diplomatie russe.

En Syrie, il y a des violations du cessez-le-feu de la part de toutes les parties en conflit, a-t-il poursuivi, et le groupe Front al-Nosra complique toujours la situation, il faut y réagir vite. Selon lui, une fin efficace aux activités militaires ne serait possible sans comprendre la différence entre les forces d'opposition et les terroristes, et la vision de ce but devient plus claire dans la coopération avec les partenaires américains. Seul un règlement politique peut mettre fin au conflit syrien, a affirmé son homologue américain.

De plus, M. Lavrov a souligné que l'opération à Daraya est terminée et que cette expérience sera utile. Le ministre espère d'ailleurs que le peuple syrien ressentira prochainement le bénéfice du renforcement de la confiance entre la Russie et les Etats-Unis. Entre-temps, la coopération russo-américaine en l'espèce pourra réellement contribuer aux efforts pour régler la crise ukrainienne au format Normandie.

La Russie et les Etats-Unis ont ainsi terminé le dernier round des pourparlers techniques sur le règlement en Syrie, à Genève. Les négociations ont duré quelque 12 heures et ont été fructueuses et constructives, selon M. Kerry.

La Turquie changerait-elle de cap sur le dossier syrien?

“Une nouvelle page” doit être ouverte en Syrie, estime le premier ministre turc Binali Yildirim. Le retour de la Turquie en Syrie marque une nouvelle étape dans la politique internationale du pays, considèrent les experts. Les démarches d’Ankara en témoignent éloquemment.

"Il est d'une importance vitale d'ouvrir, sans perdre de temps, une nouvelle page en Syrie sur la base d'un modèle impliquant particulièrement la Turquie, l'Iran (…), la Russie, les Etats-Unis, des États du Golfe et l'Arabie saoudite", a déclaré Binali Yildirim ajoutant que pour la Turquie, il est essentiel que l'intégrité territoriale du voisin syrien soit sauvegardée. 

Pour Numan Kurtulmus, le vice Premier-ministre turc, le pouvoir syrien a naturellement sa place à la table des négociations sur le règlement pacifique du conflit en Syrie. Pour Jean Macrou, professeur à Sciences-Po et spécialiste de la Turquie, il s'agit bien du retour du pays dans le règlement syrien: "Je pense qu'il y a effectivement un nouveau positionnement de la Turquie, plus exactement un retour de la Turquie dans le règlement du conflit syrien.

Par ses positions justement très hostiles aux Kurdes et au régime de Bashar el-Assad, elle s'était mise un peu en dehors du règlement du conflit depuis deux ans".   Le retour de la Turquie en Syrie a été marqué le 24 août par le début de l'opération Bouclier de l'Euphrate que le pays a lancé à Jarablus. D'après M. Macrou, il y a une sorte d'acceptation d'un nouveau plan de règlement sur la Syrie, d'une nouvelle étape de négociations.

Cette nouvelle phase comprendrait la relance des relations entre la Turquie et la Syrie, d'après certains experts.   L'opération turque en Syrie "ne vise pas Daech, mais les Kurdes" Dans des médias arabes, notamment algériens, depuis longtemps en effet, on débat des négociations secrètes entre la Syrie et la Turquie sur la restauration des relations bilatérales. On a notamment diffusé l'information selon laquelle à la veille de l'opération turque à Jarablus, un haut responsable de la direction du renseignement turc a rencontré à Damas des représentants des services secrets syriens.

Cette coopération existe bien, a confirmé aux médias russes Ismaïl Pekin, ancien chef du département de renseignement d'état-major turc. "Deux des cinq entretiens ont eu lieu l'année dernière, trois autres — cette année… En ce qui concerne le contenu de nos négociations, elles étaient consacrées essentiellement à la situation qui s'est créée en Syrie, à la garantie de la sécurité.

Nous nous sommes entretenus avec les représentants des services spéciaux syriens. Ils nous ont fait part d'événements en Syrie, ont envisagé les perspectives de rétablissement des relations entre la Turquie et la Syrie, l'élaboration d'une conception conjointe de sécurité. Après ces entretiens nous avons informé les institutions appropriées des résultats ayant signalé la nécessité d'engager les pourparlers officiels à ce sujet à un niveau plus élevé", a confié Ismail Pekin aux médias russes. Faisant la même chose, Jean Macrou a également indiqué que "la Turquie désirait renouer des contacts avec le régime de Damas".

Lavrov et Kerry tiennent le sort de la Syrie entre leurs mains

Comme on peut le constater, USA et Russie s'activent autour du dossier syrien, laissant espérer une reprise rapide des négociations entre les représentants du président Bachar al-Assad et l'opposition. Les entretiens à huis clos entre le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov et le secrétaire d'État américain John Kerry laissent espérer du nouveau avant septembre.

Dans le cadre du sommet de l'Association des nations de l'Asie du Sud-Est (ASEAN), John Kerry s'était entretenu avec son homologue russe pour la deuxième fois en dix jours. Ils ont évoqué les conditions de la coopération militaire entre la Russie et les USA et de l'échange de renseignements en Syrie, ainsi que des "mesures concrètes" pour lutter contre les terroristes.

"Washington et Moscou soutiennent des forces différentes dans la guerre civile mais sont prêts à coopérer étroitement", a reconnu Kerry. Selon la presse américaine, Russie et États-Unis vont coordonner leurs frappes aériennes contre les positions de la filiale d'Al-Qaïda en Syrie, le Front al-Nosra (les deux organisations sont interdites en Russie). De plus, il sera interdit à l'armée de l'air syrienne d'attaquer les positions de l'opposition modérée. Enfin, les États-Unis insistent sur un cessez-le-feu de sept jours pour séparer les terroristes des opposants mais la Russie reste sceptique quant à cette proposition.

A l'issue de l'entretien entre les deux chefs de diplomatie, le département d'État américain a publié un communiqué dans lequel Moscou et Washington appellent l'Onu à préparer des propositions sur la transition politique en Syrie s'appuyant sur la résolution du Conseil de sécurité des Nations unies et tenant compte de l'avis des acteurs du conflit syrien.

Ces propositions constitueront le point de départ des consultations à venir. Les USA s'activent depuis que l'armée syrienne et ses alliés ont commencé le siège d'Alep, faisant peser le risque d'un blocus sur 250 000 civils. Oxfam, Mercy Corps et d'autres organisations humanitaires internationales ont condamné le siège d'Alep et averti que la nourriture s'épuiserait dans la ville d'ici quelques semaines.

L'Onu a demandé lundi une interruption de 48 heures pour envoyer de l'aide humanitaire aux habitants assiégés. De son côté, la télévision publique syrienne a rapporté que l'armée avait assuré une sortie sûre de la ville aux habitants souhaitant la quitter. L'envoyé spécial de l'Onu pour la Syrie, Staffan de Mistura, n'a pas non plus de temps à perdre. A l'issue de son entretien avec le représentant américain pour la Syrie Michael Ratney et avec le vice-ministre russe des Affaires étrangères Guennadi Gatilov, le diplomate a déclaré qu'il comptait relancer les négociations intersyriennes à Genève d'ici fin août, sachant que les deux premières semaines seront consacrées aux préparatifs.

Staffan de Mistura a précisé qu'il comptait sur l'aide de Kerry et de Lavrov car "le progrès dans les consultations entre la Russie et les USA crée une bonne atmosphère aussi bien sur le terrain que dans les négociations inter syriennes".

Une nouvelle arme russe testée en Syrie

Les militaires syriens ont utilisé les nouveaux obus guidés russes Krasnopol contre les terroristes. En raison du conflit qui la secoue depuis plusieurs années, la Syrie est devenue un polygone d'essai pour un grand nombre d'armes russes de haute précision. L'artillerie faisait encore exception jusqu'à récemment, quand l'armée gouvernementale a utilisé des obus guidés de 152 mm Krasnopol pour attaquer les positions des djihadistes.

Ces munitions ont l'avantage de pouvoir être tirées par des armes d'ancienne génération — en l'occurrence les obusiers soviétiques D-20 datant de 1947. L'objectif est pointé par un laser inclus dans le lot des munitions et en phase finale de vol, l'ogive autoguidée du Krasnopol suit le pointage laser et se dirige grâce à des ailerons aérodynamiques télescopiques. Le taux de précision est de 90%.

La portée des versions modernes du Krasnopol est de 30 km. Les munitions sont fabriquées aussi bien pour le calibre russe 152 mm que pour les normes de l'Otan 155 mm — achetées par l'Inde et la Chine, qui fabrique également des munitions sous licence. Une version du Krasnopol fonctionne également avec un guidage par satellite. Elle est utilisée par le tout nouvel obusier russe Koalitsia-SV. Voilà qui fait fuir les djihadistes dans tous les sens.

Encore une fois, tous les plans américains pour la reconfiguration géopolitique du Moyen Orient sont tombés dans l’eau grâce à la Russie, qui reste incontournable pour le moment. La Syrie était visée pour être découpée afin de retracer de nouvelles frontières qui auraient permis la construction d’un Etat Kurde. Malheureusement, ce plan vient d’échouer lamentablement et cela grâce à Poutine qui a su contrôler à temps les velléités américaines. La Syrie va donc retrouver bientôt toutes ses frontières.

Le Daesh créé pour accomplir ce plan diabolique s’est révélé négatif. Les modérés que Washington a préparés pour servir de paravent se sont montrés plusieurs fois comme collaborateurs des Djihadistes. Car, à plusieurs reprises, ils se sont fait malicieusement « prendre » par Daesh pour remettre armes et bagages au profit des combattants islamiques. Y a-t-il encore là un secret qui pourrait échapper aux analystes internationaux ? A notre connaissance, non.      

C’est comme qui dirait que Daesh, rebelles modérés, combattants al nostra et al khaida sont blanc bonnet et bonnet blanc. Tous ces regroupements étaient intelligemment mis en place par Washington.

à mon avis, ne sont pas utiles», affirme Thomas Lokondo.
 
D’après lui, la feuille de route du dialogue ne devrait comporter que le point relatif au processus électoral « pour gagner le temps ».
 
«Cette feuille de route aurait dû être souple parce qu’il s’agit d’une simple facilitation internationale qui sert à nous aider à un accord politique sur le processus électoral, particulièrement sur l’élaboration du fichier électoral et du calendrier électoral», a suggéré le député de la MP.
 
Quant au nombre de participants au dialogue, l’élu de Mbandaka le juge pléthorique.
 
«On pouvait même le réduire à 50 personnes. Le travail qui doit nous aider pour obtenir un accord politique est d’abord technique. Pour cela, il suffit simplement d’impliquer la CENI [Commission électorale nationale indépendante], la mission d’évaluation du processus électoral de l’Organisation internationale de la Francophonie et celle de l’ONU qui peuvent nous aider à établir un chronogramme pour la tenue des élections», a ajouté le député Lokondo.
 
La plénière du dialogue a revu à la hausse le quota des participants à ce forum. Le nombre de délégués de la MP et l’opposition passe de 68 à 93 délégués. La société civile qui avait 39 délégués, en aura désormais 64. Les personnalités invitées par le facilitateur passent de 25 délégués à 30. L’opposition républicaine quant à elle obtient sept délégués au dialogue.
 
Par ailleurs, Henri-Thomas LOkondo demande que le dialogue soit retransmis en direct sur les antennes de la Radiotélévision nationale pour permettre à la population de se faire une idée sur l’aboutissement de ce forum. Selon lui, il ne faudrait pas priver le peuple de ce forum, lorsqu’on sait que beaucoup de moyens financiers et humains ont été déployés dans la campagne de sensibilisation pour inciter la population à dire oui au dialogue.

 

Source : www.lappelafricain.com 
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